« Proposer le Rorschach à un sujet n'est pas lui faire dire ce qu'il ne veut pas dire, mais plutôt lui permettre d'exprimer ce qu'il ne peut pas dire en termes clairs, c'est-à-dire ses moments de souffrance, ses points de fragilité et aussi sa disponibilité, ses modes de récupération, ses possibilités de dégagement. »
Nina Rausch de Traubenberg
(1986), Le Rorschach, espace d'interactions,
Bulletin de Psychologie, 376, 39, 11-15, p. 660
à vos plumes…!
Vous trouverez l’argumentaire du numéro 36 de la revue Psychologie Clinique et projective sur le thème :
“Le traumatisme et ses déclinaisons à travers les épreuves projectives”
Vos contributions sont attendues pour le 28 février 2024